La Chine ARRÊTE le commerce avec l’UE – Von der Leyen en est responsable !

La Chine a décidé de suspendre brutalement tous ses échanges commerciaux avec l’Union européenne, un coup de tonnerre qui pourrait avoir des répercussions économiques dévastatrices pour le continent. Cette décision, annoncée par le ministère chinois du Commerce, est présentée comme une réponse aux mesures protectionnistes jugées injustes imposées par Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne. Les droits de douane exorbitants de 38 % sur les véhicules électriques chinois, entrés en vigueur en juillet 2024, sont au cœur de cette crise.

L’UE, déjà en proie à des tensions économiques croissantes, se retrouve à un tournant critique. Cette rupture avec la Chine, premier partenaire commercial de l’Europe, menace de paralyser des chaînes d’approvisionnement essentielles et de mettre à mal des industries entières, de l’automobile à la chimie. Les conséquences pourraient être catastrophiques, avec des pertes d’emplois massives et un coût économique qui pourrait atteindre des milliards d’euros.

Les tensions entre l’UE et la Chine ne sont pas nouvelles. Elles s’inscrivent dans un contexte de rivalité croissante, exacerbée par les sanctions imposées par von der Leyen sur les technologies chinoises. Ces mesures ont déjà conduit à des représailles de la part de Pékin, affectant des secteurs clés comme le vin et les spiritueux, avec des pertes estimées à 1 milliard d’euros pour la France.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : le commerce entre l’UE et la Chine atteignait 856 milliards d’euros en 2023, représentant 20 % des échanges mondiaux de l’UE. La dépendance de l’Europe vis-à-vis de la Chine est alarmante, notamment dans des secteurs comme l’automobile, où des entreprises comme Volkswagen et Stellantis dépendent à 40 % de composants chinois. Les projections indiquent que l’UE pourrait perdre jusqu’à 500 milliards d’euros d’ici 2026 si cette situation perdure.

Les répercussions sont déjà visibles. Des entreprises comme Airbus et Sanofi commencent à ressentir les effets de cette rupture. Airbus, qui a vendu 20 % de ses avions à la Chine en 2023, pourrait perdre 10 milliards d’euros, tandis que Sanofi, dépendant de matières premières chinoises, voit ses coûts exploser de 30 %. Les agriculteurs français, déjà sous pression, craignent une chute des exportations de vin, un secteur clé de l’économie.

Cette crise économique s’accompagne également d’une montée des tensions sociales. Les manifestations contre l’austérité et la gestion de la crise se multiplient à travers l’Europe, avec un mécontentement croissant envers les élites politiques. Selon une enquête Eurobaromètre, 58 % des Européens doutent de l’UE et 70 % ne font plus confiance aux élites, un signe alarmant de la fracture croissante entre les gouvernés et les gouvernants.

Les critiques à l’encontre de von der Leyen se font entendre, certains la blâmant pour avoir cédé aux pressions américaines et pour avoir mis en œuvre des politiques qui ont exacerbé les tensions avec la Chine. Les acteurs économiques et politiques appellent à une réévaluation des relations avec la Chine, tout en plaidant pour une plus grande transparence et une meilleure gestion des intérêts européens.

Alors que l’Europe se retrouve à la croisée des chemins, la question demeure : comment sortir de cette impasse sans sacrifier l’économie et la stabilité sociale ? Les réponses doivent venir rapidement, car le temps presse et l’avenir de l’Europe est en jeu.